Tanger, à l’aube du VIIIe siècle. Tariq, général de l’armée amazighe, et Ahmed, son bras droit, s’apprêtent à oublier les ambitions qui les ont poussé hors de leur tribu nomade. Jusqu’à ce qu’un seigneur wisigoth, allié du prince déchu d’Hispania, leur livre enfin l’opportunité qu’ils n’espéraient plus : pénétrer de l’autre côté de la Méditerranée, défaire les armées étrangères et en tirer suffisamment de gloire pour mettre les Amazighs à l’abri du joug de Damas. Ce faisant, désobéir à leurs supérieurs et risquer d’être accusés de trahison. Le jeu en vaut-il la chandelle ? Oui, sans aucun doute.

L’envol des sables, c’est mon bébé, mon premier roman terminé, celui qui me hante depuis 2008 (eh oui, déjà !), et celui qui continue de me soutenir quand mes autres enfants terribles me donnent du fil à retordre.
Celui de l’odeur du sable chaud, de la magie du vent, de deux amis d’enfance prêts à se sacrifier l’un pour l’autre, du voyage en Orient.